chair et à la vie éternelle, c’est la formulation baptismale du symbole des

Nous attendons la résurrection des morts, je crois à la résurrection de la

apôtres. C’est dans le Christ résussité des morts, la

résurrection des morts, cette espérance. L’Eglise, en recevant la

bienheureuse espérance de la résurrection des morts et de la vie éternelle

n’a jamais cessé et ne cesse de la faire fructifier.

La résurrection et la vie éternelle.

Ne sommes nous pas les porteurs de la paix que le christ nous donne, non

comme le monde la donne. Nous savons aussi que la seule manière est

d’ouvrir les yeux de la foi.

Le Credo désigne une même figure de la condition humaine telle que la

révélation nous en donne l’epérance. la résurrection des morts bouleverse

la perception que nous pouvons avoir de la condition corporelle …. de

l’homme et de toute l’humanité.

Par la manifestation de la vérité, nous nous recommandons à toute

conscience humaine devant Dieu. Comprende les raison de nos questions.

Réflichir à quelques aspects de la conditions humaines à partir de la

résurrection des morts, d’abord, puis de la vie éternelle.

La résurrecction des morts: quatre brèves réflexions. 1) la communion

des êtres humains entre eux, inscrite comme un désir, comme une espérance

dans la conscience de tout être humain; le pardon; la mémoire; Il ne suffit

pas de dire que Dieu se souvient. Dans la bienheureuse espérance que nous

attendons, nous savons que la mémoir des hommes réssucités recevra de Dieu

la communion à sa mémoire, la mémoire divine, où tout, où toute chose, tout

acte de liberté, toute sagesse, toute pensée sera récapitulée dans le

Christ qui sera tout en tous. En ce monde d’oubli, dans l’épreuve même de

la mort de notre mémoire, nous portons dans notre chair le mémorial du

salut. la mémoire du monde dont le signe est le corps et le sang du messie

réssuscité.

Autre point de départ, celui de la vie éternelle: 3 considérations, à

partir de l’éthique

Comment pourrions nous achever notre réflexion sur la vie éternelle sans

nommer la guerre qui ne cess de mobiliser nos esprits. Je suis habité d’un

tourment sans cess plus grand en songeant que depuis la dernière guerre

mondiale tant de conflits n’ont cessé de se déroulé dans les différentes

parties du monde, hormi peut-être l’Europe Occidentale, des hommes ont

exterminé d’autres hommes par centaines de milliers, parfois par millions,

des cataclysmes et des famines ont détruit un nombre immense d’êtres

humains. C’est encore aujourd’hui ce qui menace de façon tragique le

continent africain. Je ne dis pas que nouas sommes restés insensibles à ce

mlheur permanent, mais comment parler sereinement de vie éternelle dans un

temps de notre où les hommes n’ont jamais été aussi nombreux sur la surface

de la terre, mais où jamais aussi les hommes n’ont tué tant d’homme depuis

que notre espèce est apparue.

Conf de presse

Episcopat français s’est-il suffisament prononcé? Nos appels n’ont guère

été répercutés par la presse

Une cathédrale pleine, un événement historique, pour la première fois

qu’un cardinal pénètre dans la cathédrale de Lausanne depuis le XIII siècle… Ce monde en relation avec ce qui se passe dans le Golfe? Je trouve

étrange que les pays occidentaux n’aient pas bronché pendant qu’il y avait

un million de morts entre l’Irak et l’Iran. Je suis stupéfait de que les

deux ou trois dépêches d’agence qui ont signalé qu’il y avait actuellement

plusieurs centaines de milliers, peut-être des millions d’Africains qui

sont menacés de mort si ont intervient pas immédiatement… on n’en parle

plus… l’histoire du choléra, on n’en parle plus. Pourquoi, brusquement

est anxieux à cause de l’aspect dramatique de cette guerre, elle l’est,

mais je crains que dans huit jours, si jamais les choses reviennent au

point mort et que la presse n’en parle plus, plus personne… La vraie question est de savoir que signifie le malheur du monde… pourquoi les hommes

ne sont pas capables de vivre en paix les uns avec les autres en s’acceptant les uns les autres.

Problème de la coexistence des chrétiens en pays musulmans et le

contraire.

On on a appelé à Dieu. Les américains ne se sont pas batrtus au nom de

Dieu, autant que j’ai pu me rendre compte. Bush a demandé de prier Dieu

pour ceux qui se battent, pour les combattants. Plus chrétiens s’il avait

demandé de prier aussi pour les autres victimes. Bush n’a pas déclaré une

guerre sainte. Alors que les peropos tenus par Husein donnaient un caractère sacré à la guerre. Guerre sainte? La guerre saint cela serait une guerre

que Dieu mène, pas une guerre que les homme mènent en s’appropriant la force de Dieu. J’aimerais savoir quelle querre Dieu mène… Dieu mène une

guerre aux péchés, le péché, c’est le péché des hommes qui les empêchen t

de ’aimer les uns les autres.

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