Revenant sur le récit de la tentation du Christ lors de son séjour au désert, le pape a expliqué aux gendarmes du Vatican que le diable utilisait une stratégie de « séduction » pour tendre des pièges.
Le démon soumet Jésus à trois tentations, a-t-il démontré: les « richesses », qui mènent lentement à la corruption; la « vanité », qui fait devenir ridicule; et enfin « le pouvoir, l’orgueil, la superbe », qui conduisent à se sentir « comme Dieu », un « grand péché ».
La seule façon de résister au démon est de faire comme Jésus, a-t-il conseillé: « avec le diable, on ne peut dialoguer », il faut seulement répondre avec la Parole du Seigneur. (apic/imedia/be)
Jacques Berset
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