«Toute cela est aussi présent dans l’Ancien Testament, mais n’existe pas en Jésus, a-t-il poursuivi au micro de Radio Vatican, le 6 décembre 2015.
Nous devons partir de Jésus, qui est le visage de Dieu, le visage d’un Dieu miséricordieux». L’Eglise doit parler «d’une nouvelle manière d’un Dieu qui accueille, qui écoute, qui voit la misère de l’homme, qui l’accompagne», a estimé le haut prélat allemand, jugeant que c’était «un grand scandale que l’Eglise soit considérée par beaucoup, à l’extérieur, comme non miséricordieuse». (cath.ch-apic/imedia/bl/pp)
Pierre Pistoletti
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