Deux sentiments, a assuré François, qui « grandissent comme de la mauvaise herbe, en étouffant la bonne herbe ». Ainsi, a fait observer le pape, le cœur jaloux est « un cœur tourmenté » qui ne peut conduire qu’à la mort car « tout ce qui semble lui faire de l’ombre lui fait mal (…). Il ne tolère pas qu’un autre ait quelque chose (qu’il n’ait) pas ».
Ce cœur souffrant désire la mort des autres et n’hésite pas à tuer, notamment par la langue et les bavardages, a ajouté le chef de l’Eglise catholique avant de mettre en garde : la jalousie « est l’origine de tant de criminalité ». (cath.ch-apic/imedia/bl/ak/gr)
Grégory Roth
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