Consoler les affligés fait partie, en effet, des sept œuvres de miséricorde spirituelle dont le pape François n’a de cesse de parler depuis l’ouverture du jubilé. Cette œuvre de miséricorde sera ainsi au «cœur de ce grand événement jubilaire adressé à tous, indique un communiqué du Vatican, mais en particulier à ceux qui sentent au plus profond d’eux-mêmes le besoin d’une parole qui donne soutien, force et consolation»: par exemple, des parents ayant perdu un enfant, une personne malade, en recherche d’emploi, fâchée avec sa famille, souffrant de solitude ou encore qui «fait l’expérience d’un mal-être existentiel», détaille le communiqué.
Le reliquaire de Notre-Dame des larmes de Syracuse contient des larmes qui auraient jailli miraculeusement, du 29 août au 1er septembre 1953, d’un bas-relief en plâtre peint, représentant le cœur immaculé de Marie, et placé à la tête de lit des jeunes époux Lannuso. Les «larmes de Marie, explique encore le communiqué, sont le signe de l’amour maternel et de la participation de la Mère aux vicissitudes de ses enfants». (cath.ch-apic/imedia/bl/rz)
Raphaël Zbinden
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