«Ce n’est pas seulement un pape amical, mais aussi un pape qui n’oublie pas les tragédies de ses fidèles», a rapporté le quotidien local italien Il Resto di Carlino. Pour Michele Ferri, le frère d’Andrea, le pape François est devenu un véritable ami. «Après avoir parlé à ma mère, le pape s’entretient toujours avec moi. Il m’a demandé comment je me sentais, il m’a dit qu’il se souvenait d’Andrea et qu’il priait pour nous. ‘Je me souviens de la date’, a-t-il dit. Puis il a ajouté qu’il appellerait plus souvent, mais qu’il a pas le temps «.
«Même le 4 juin 2016, il nous a appelés», se rappelle Michele. Et cette année, il a publié sur sa page Facebook: «Merci Pape François d’avoir pensé à ce quatrième anniversaire d’Andrea, de nous faire sentir votre présence et d’être toujours là à proximité. Nous ne cesserons jamais de vous remercier pour tout ce que vous faites pour nous.»
Dans la nuit du 4 juin 2013, Andrea Ferri, propriétaire d’une station service à Pesaro, avait été tué à coups de fusil par deux personnes, entretemps condamnées. (cath.ch/irdc/gr)
Grégory Roth
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