A l’exemple des «libérations miraculeuses» des apôtres Pierre et Paul dans les Ecritures, a affirmé le pontife, Dieu «vient à notre aide et nous libère des menaces des ennemis», spécialement dans l’épreuve.
Cependant, a rappelé le pape, le péché est le «véritable ennemi», dont le sacrement de la pénitence est le remède. Alors, «en recevant la grâce du pardon, nous sommes libérés des liens du mal et allégé du fardeau de nos erreurs».
Une déclaration qui prolonge celle de son audience générale le 28 juin. Le pontife avait alors affirmé que les attentats-suicides ne pouvaient pas être appelés du nom de ›martyrs’. Cette idée «répugne aux chrétiens», avait-il souligné.
Après l’Angélus, le pape François a renouvelé ses vœux «pour leur mission au service de l’Evangile» aux nouveaux cardinaux, créés lors du consistoire le 28 juin, et aux archevêques métropolitains à qui il a remis le pallium. Le pontife a en outre salué de nouveau la délégation orthodoxe, venue à Rome pour représenter le patriarche de Constantinople Bartholomée.
Le Souverain pontife s’est enfin adressé aux fidèles de Rome, pour la fête de leurs saints patrons Pierre et Paul, saluant particulièrement les «belles représentations florales», tradition de l’Italie. Plusieurs panneaux de fleurs ornent la place Pie XII près de la basilique, représentant notamment la sainte Vierge. (cath.ch/imedia/ap/pp)
Pierre Pistoletti
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