La présence de l’Eglise se traduira en premier lieu par la rencontre du pape François avec les pauvres, les associations et les groupes paroissiaux, dès la matinée du 18 novembre dans la basilique Saint-Pierre. Suivra une célébration eucharistique en leur honneur, a précisé Mgr Fisichella.
Comme l’an dernier, 3000 pauvres seront ensuite conviés à un déjeuner dans la salle Paul VI avec le pontife. Le repas sera offert par le groupe hôtelier de luxe Rome Cavalieri – Hilton Italia en collaboration avec Tabor international, une fondation dédiée aux personnes abandonnées: démunies ou handicapées.
Simultanément, toutes les paroisses, les collèges et les centres de volontaires seront invités à s’unir à cet événement en offrant également des repas aux plus pauvres.
Pour la seconde fois, le Vatican marquera sa présence auprès des nécessiteux dès le 12 novembre par le déploiement d’un centre de soins mobile sur la place Pie XII, aux abords du Vatican. Jusqu’au 18 novembre, les pauvres pourront donc recevoir entre autres des soins dermatologiques, infectiologiques, cardiologiques, gynécologiques, ou encore oculistiques.
Ce dispensaire, ouvert jusqu’à tard dans la nuit, sera mis en œuvre par le Département de santé du Vatican, ainsi que par les sections de santé de l’université catholique Gemelli et de l’université Tor Vergata. Mgr Fisichella espère ainsi répéter «les résultats encourageants» obtenus en 2017 où quelque 600 personnes démunies avaient reçu des soins gratuits.
Une veillée de prière se déroulera par ailleurs le 17 novembre dans la basilique pontificale Saint-Laurent-hors-les-Murs où seront conviés les pauvres et les associations de volontaires. (cath.ch/imedia/ah/rz)
Raphaël Zbinden
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