«La défense de la vie humaine et la protection du territoire et des infrastructures ne se produisent pas seulement en cas d’urgence», a expliqué le pape François, mais également «dans les activités de prévision et de prévention». Ainsi que «dans la phase ultérieure de retour à la normale», a-t-il souligné. Malgré l’engagement de tous, il s’agit parfois d’une phase longue et complexe.
C’est pourquoi, «la mission la plus importante de la protection civile devient celle de l’éducation», a affirmé François. Ainsi, il faut former chaque citoyen à «adopter des comportements réduisant les risques pour eux-mêmes et pour les autres», a-t-il insisté. «En ce sens, les initiatives menées dans les écoles avec des enfants et des jeunes, citoyens et volontaires de demain, sont particulièrement utiles», selon pape François.
De même, les jeunes doivent «s’engager à aimer et à protéger la nature». Sans oublier, a-t-il déclaré, de diffuser autour d’eux «la valeur de la coexistence». Car à travers cet engagement quotidien, il sera possible à chacun de vivre dans un monde «plus solidaire et donc plus sûr». (cath.ch/imedia/pad/pp)
Pierre Pistoletti
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