vaille à Caritas-Vaud, dont 10 ans de direction.

Directeur depuis 10 ans. Et il y aura 19 ans le 1er septembre que je tra-

J’ai effectivement reçu la lettre de licenciement qui est datée du 27

juillet 1995. Je m’y attendais, puisque ils m’avaient prévenu, le Comité,

dans une réunion du juillet, une réunion qui s’est déroulée avec une délégation du comité, Mme Anne-Marie Gabella, présidente, M. Joseph Frund,membre du comité de cariotasvaud délégué de la Fédération des paroisses catholiques du canton de Vaud, membre du comité et Mgr Burcher, …. Ils m’ont

convoqué le 7 juillert au matin, pour me dire qu’ils avaient décidé de résilier mon contrat de travail.

Les raisons? Ce qui m’a été dit, par Frund, c’est que je n’avais plus ou

je n’avais pas les compétences pour gérer Caritas-Vaud à l’avenir. ça a été

dit. Il faut savoir qu’ils avaient eu une réunion entre eux, je ne sais pas

qui y participait , le mardi 4 juillet. Ils ont discuté. Frund m’a signifié

cela. J’ai réagi en disant vous savez ce que ce sera, vous, Caritas dans le

futur? Point 2, qui m’a été dit…. Il existe une entreprise qui se charge

de recaser les cadre…. Nous avons déjà pris contact avec. Nous attendons

les dossiers. C’est vrai, ils m’ont envoyé un dossier susceptible d’être

pris « en charge par cette entreprise de placement ». de cadres moyennant finance de Caritas.

Point 3 de cette réunion…. Je leur ai dit « on n’a plus rien à dire…

là, j’attends votre lettre de confiormation. Elle est datée du 27

juillet… j’étais en vacances… Elle est arrivée par recommandé…. Elle

dit simplement « Nous vous confirmons que notre comité a décisé pour

divergences de vue de resilier votre contrat de travail pour le 30 novembre

1995. Divergences de vue? C’est quoi?

L’asemblée de Caritas Vaud, qui a eu lieu le 19 juin… un rapport dans

ce rapport, je précise l’indexation des salaires des collaborateurs….

Monsieur Raymond dela … un membre du comité… « Ce sont là des choses

qiu’ont ne dit pas ». Beaucoup de choses semblent tourner autour de l’assemblée générale de Caritas Vaud, le 19 juin

Unaimitzé du comité pour signifier le licenciement. Combien de membre au

comité? Quel âge? 51 ans, pas marié, célibataire.

Statut juridique de Caritas? Une association privée selon les articles

60 et suivants du code civile. La fédération reconnaît comme le service sociale de l’Eglise catholique dans le canton. A cet effet, elle aide caritas

pour 7 postes de salaire. Caritas = 25 personens dans l’institution, qui

représentent 19 postes permanent à 100% et quelque 300 bénévoles. A charge

de Caritas de s’occuper des tâches sociales de l’Eglise. et également, la

Fédération met à disposition une somme relativement modes, à charge de Caritas-Vaud de l’utiliser à des fins qui vont dans le sens de la diaconie de

l’Eglise.

Une convention que nous avons établi en 89 ou en 90 avec l’ancien président de Caritas, Jacques Clerc. Signé et nous lie avec la Fédération. La

consiéqiuence: un délégué de la Fédé assiste au Comité.

Au niveau des statuts, cet en défintive l’évêque est responsable.

Rien pour l’instant… « Je dois d’avbord retomber sur mes pieds… Après

19 ans avec un engagement dans l’Eglise depuis 1976… Atesté par les remerciements de Mgr Bullet…. On se retrouve comme ça pour divergences de

vue… Relation conflictuelle avec le comité depuis un an maintenant, à savoir depuis que Mabella a repris la présidence… Pour retrouver un emploi,

il faut être en forme. Et tel n’est pas le cas. Après prs de 20 ans de maison… on a l’impression de ne plus valoir grand chose. Les valeurs et les

compéternces que vous vous reconnaissez, vous vous dites que ça n’est plus

utiles, ça n’existe plus.

J’a très treès mal vécu…. « Nous jugeons inoportun que vous occupiez

plus longtemps la fonction de directeur de Caritas Vaud. Nous vous relevons

dès lors de cette fonction avec effet immédiat et vous invitons à quitter

votre bureau dans un délai de deux jours ». Ce ton là… je dis… c’est pas

possible.. C’est incroyable… Ma réaction? Elle a été de demander de confirmer par écrit qu’il n’y a pas eu de faute grave. La présidente a été

d’accord. Je ne l’ai pas encore reçu.

Caritas….. Employés, sentiment général…. Faute? Non pas faute, les employés ont le sentiment qu’il n’a pas commis de faute….. Les employés ont

été surpris, le départ si rapide a surpris. Même si c’était dns l’air… en

raison d’un conflit dans l’ai deopuis un an, avec l’arrivée de la nouvelle

présidente. Faisait-il mal son travail… je ne vois pas d’erreur professionnelle. Un conflit…. cela se résume à cela… divergences de point de

vue… comme la lettre le dit. Oui, c’est le sentiment général…. Avec une

tristesse… en général… Un sentiment général… pour le moins.

Raymond Baudère, respomnsable de Caritas Vaud durant 25 ans, aujourd’hui

à la retraitre…. se dit très inquiet pour l’avenir de l’institution, vue

la tournure des événements. Mes efforts en vue de trouver une solution ont

été vain ». Entre le comité, Mgr Burcher et Becco.

Il est tout à fait normal que des tensions surviennent entre un coimité,

un directeur, même à propos de simple divergence… Surtout dans une institution comme Caritas, où il y a un évantail de problèmes et d’engagements.

Donc logique les opionions différents. Ces tensions ou ces divergences doivent être résolues dans un dialogue nécessaire. Mais il faut le vouloir. Et

dans le cas particulier, j’ai la conviction que la difficulté a été mal gérée. Il était possible de régler le problème autrement que par le licenciement du directeur. Ce qui m’a heurté, c’est la manière….. On donne congé

à un dirercteur quelqu’un qui a puisé dans la caisse …. mais pour quelqu’un à qui on ne reproche que des divergences de vuequ’on ne connaît pas

par dessus le marché… Personne n’en sait rien. Le président et le viceprésident peut-être mais sinon personne….

Je n’ai jamais pu obtenir des deux présidents vice d’explication satisfaisante. Ni même que le comité accepte de se remetrtre en question, ce qui

me paraissait indispemnsable. Huit membre, y compris le directeur.

Maintenant, dire que le directeur n’est pas ou n’est plus l’homme q’il

faut parce que cela a été dit pour affronter les défis de l’an 2000, je

trouve que c’est plutôt étriqué, d’autant plus qu’à ma connnaissance, « on a

pas défini ces défis, i ce qu’on attendait d’un directeur pour qu’il soit

considérer comme capable de les affronter. On présuppose à l’avance qu’il

ne sera pas l’homme de la situation en l’an 2000. Cela n’apparaît pas du

reste dans l’annonce de mise au concours du poste, parue dans des journaux

locaux le 14 août…. Ainsi libellé: Exigence Nationalité suisse. expérience dans les domaines social et administratifs, dans la planification et la

réalisation de projets……

Un peu maigre…. pour trouver queqlu’un qui réponde aux besoins de l’an

2000.

Quant à dire que le cliamt de confiance n’eexiste plus… c’est un peu

simpliste… Un directeur a tout autant le droit qu’invoquer ce droit qu’un

comité.. et dans le cas particlier je regrette que ce soit toujours le

maillon le plus faibvle qui doive céder.

Je suis d’autant plus perplexe et « furieux » par rapport à la personne

congédiée et à l’institution, c’est qu’à mi mars, ou les tensions exist!aient déjà, il y a eu un entretien entre Burcher, Becco et las présidente,

notamment, il semblerait qu’un pas ait été fait, positivement et que les

choses avaient été remise en place…. Il y a vait une évolution.

Burcher… comme institution d’Eglise, est partie prenante dans la nomination et le licenciement du directeur de Caritas, selon les statuts.

Il a donc donné son accord, y compris Mgr Mamie.

Vice présidente, depuis 1983 au comité et la vice-présidente depuis

1986… je ne comprend pas et d’autres aussi… mais je ne comprend pas

comment ils ne sont pas parvenus à dire « le directeur n’est pas à sa place ». C’est donc bien une question de personne. i un président ou un vice

président n’accepte pas qu’on luii pose une question ou qu’on lui fasse une

remarque quant à sa manière de gérer une association… et qu’on se focalissur une seule issue c’est de mettre à la porte le directeur.. on fait

tout ce qu’on peut pour y arriver… et là on y est arrivé

Robert Marclay, vice-président

La position u Comité? Divergence de éoint de vue… Cela veut dire quoi?

Je ne peux pas, par téléphone, donner le point du vue du comité si je suis

tout seul…. » Nous avons décidé d’être deux membres du comité pour

répondre aux questions…. On lui reproche ne ne pas vouloir ou pouvoir se

soumettre aux décisions du comité… une impossibilité de collaborer dans

les formes que définissent les statuts qui dit que le comité est l’organe

suprême.

Oui, Mgr Burcher a été associét au processus… depuis l’automne dernier,

depuis novembre plus précisément.

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