«La plupart des membres du jury ainsi que des réalisatrices et réalisateurs de films venant de pays extérieurs à la Suisse, il nous est aujourd’hui impossible de leur garantir si et quand les frontières seront rouvertes», explique le comité du Prix Farel dans un communiqué du 14 mai 2020.
Les conditions dans lesquelles les cinémas neuchâtelois pourront accueillir le public en novembre sont également incertaines. La production de films ayant diminué, le comité préfère reporter le festival d’une année afin de proposer une programmation «aussi riche et variée que lors des autres éditions et d’accueillir professionnels et festivaliers dans les meilleures conditions possibles».
Organisé tous les deux ans, le Prix Farel met en compétition des documentaires, des reportages et des fictions traitant des questionnements existentiels et spirituels, des problématiques religieuses ainsi que des défis éthiques contemporains. Le festival permet également aux professionnels, spécialistes ou non de ces thématiques, de se rencontrer et de confronter leurs expériences. (cath.ch/com/rz)
Raphaël Zbinden
Portail catholique suisse