Il s’agissait de la première entrevue entre le pontife et cet Argentin à la tête de l’AIEA depuis 2019. Rafael Mariano Grossi a également échangé avec le Secrétaire d’État du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, sur la non-prolifération nucléaire et sur la réduction des émissions de carbone. « Puisse l’AIEA être un instrument de paix, un facteur de santé humaine et de développement, une force d’écologie intégrale et une voix d’harmonie en ces temps troubles », a écrit le responsable onusien sur Twitter après cette rencontre.
Le Saint-Siège s’est déjà exprimé à maintes reprises auprès des Nations unies sur la question du désarmement nucléaire, l’un des combats du pape François. L’AIEA est une organisation internationale autonome placée sous l’égide de l’Organisation des Nations unies, qui s’occupe de promouvoir un utilisation pacifique et sûre des énergies nucléaires. Lors de sa création en 1957, le Saint-Siège a été l’un de ses membres fondateurs. (cath.ch/imedia/hl/mp)
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