Treichville, 31 mars 1997 (APIC) : c’est le titre du livre-interview d’un prêtre ivoirien, Norbert Eric Abékan, très connu dans son pays pour le ministère de délivrance et de guérison qu’il accomplit – avec l’accord de son évêque – depuis une douzaine d’années. Les prières de guérison qu’il organise à Treichville le dernier samedi du mois attirent des milliers de personnes.
L’abbé Abékan évoque plusieurs souvenir de son enfance qui ont amené des personnes de son village à la considérer comme un sorcier, et plusieurs signes qui, par la suite, l’ont conforté dans sa vocation à la prêtrise. Les premières prière de délivrance qu’il a vu faire par le Père Hebga lui ont donné une impression désagréable. Mais les demandes instantes de prière l’ont amené à consacrer du temps à l’écoute, puis aux prières de délivrance. La dernière partie du livre répond à des objections courantes contre le célibat des prêtres.
Devant les cas qu’on lui présente, l’abbé Abékan pense d’abord aux explications naturelles: . Ainsi, face à une femme qui tombait en transes chaque fois qu’elle voyait un cercueil,
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