Ce n’est pas une possession forte, a-t-il souligné, mais une « séduction » qui se fait lentement, qui « change nos critères » pour nous pousser vers la mondanité et la tiédeur. Ainsi la mondanité est-elle un mélange – une « macédoine » – entre « l’esprit du monde et l’esprit de Dieu ». Mais tout ceci éloigne du Seigneur, a regretté le pontife.
Pour résister aux tentations, le successeur de Pierre a encouragé à l’examen de conscience en regardant le Christ crucifié. « La mondanité se détruit devant la croix du Seigneur », et cela peut passer par une « fracture » avec les attitudes confortables, par les œuvres de charité par exemple, qui « coûtent ». (cath.ch/imedia/ap/be)
Jacques Berset
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