Ivan Stern: Selecta qui dépend uniquement de la Commission de film de Zu-
Selecta (240989)
rich part à Zurich et les Romands et les Fribourgeois n’ont rien à dire. Ce
qui est enjeu en Suisse Romande de garder Cortux-Film qui appartient à Corpataux… c’est en discussion pour reprendre. Mais cela n’a rien à vour
avec Selecta. Ce sont deux choses totalement séparées. Ce qui serait actuellement dans les tractations en cours, c’est de garder une partie des
films français de Selecta à Fribourg et de pouvoir conserver le personnel
de Cortux film quui a travaillé pour Selecta et de rassembler cela avec le
CIDAV actuel. Mais il n’y a rien de fait.
La fusion: une histoire de rationalisation qui est bien sur un plan
strictmement commercila et sur le pla de la diffusion des films comme le
faisaient Selecta et Zoom jusqu’à présent séparement. Il y avait un seul
catalogue, mais les clients ne savaient jamais à quelle maison il faLLAIT
S?ADRESSER et téléphoner pour avoir un film. C’était pas tellement rationel, le seul problème qui reste c’est qu’en Suisse la barrière des roestis
existe encore et tout centraliser à Zurich est un handicap pour la Suisse
romande. Ce qu’il faut, pour nous, c’est de pouvoir garder quelque chose en
Suisse Romande, du matériel francophone. Mais qui ne serait plus sous Selecta? Plus sous Selecta puisqu’eux garde le nom. Selecta ne dépend pas des
organisems catholiques francophones. Elle dépend uniquement de la Commission catholique qui est composée uniquement de Suisse alémanique. Pas un
seul romand dans cete commission.
Conserver quelque chose en Suisse Romande d’un point de vue culturel, il
est important de garder en français et de s’ouvrir davantage aux nouveaux
médias. Le 16mm baisse un peu, il faut pouvoir travailler avec lesmédias
actuels qui sont la vidéo. Il s’agirt maintenant de persuader des tas de
gens dans l’Eglise. Mais du point de vue romand, tout le monde est absolument conscient de cela, c’est en pourparler., dans les différents régions
et les différents organisdmes concernés. Pourparler entre le Service interdiocésain de l’audiovisuel SIDAV), l’Office catholique du cinéma, et ensuite, ce qu’il fallait obtenir, c’est que Selecta et Zoom nouvelle formulle
nous garatissent qu’on puisse nous utiliserleurs films français qu’ils ont
déjà et ceux qu’ils achetzeront encore. Qu’on puisse collaborer… c’est en
tractation… une hoistoire de finance et de subvention . Cela devrait pouvoir se mettre en route prochainement (Personnel :2) Dès qu’ils seront à
Zurich, qu’on puisse mettre quelque chose de neuf. Revoir la fin de l’article du 22 mai.