Il y a deux choses: nous avons donné vendredi dernier un communiqué destiné

Interview

à être lu dans toutes les messes dans lequel nous avons reflété et réflexioné au sujet de la situation du pays, en disant que l’action militaire

nous a blessé, nous a laissé. Deuxièmement, il y a l’autre aspect: la chute

d’un gouvernement oppressif, avec Noriega, dont le peuple panaménien a

souffert depuis longtemps. L’Egle, les évêques, nous avons depuis plusieurs

années émis des documents critiquants fortement les abus contre les droits

de l’homme par le gouvernement de Noriega et pour cela, l’Eglise a souffert

de beaucoup de pression et de répression. On peut sentir une double réaction de la part des panaméniens, que l’Eglise aussi reflète. C’est-à-dire

c’est une invasion militaire. Eléle limite la souveraineté et l’indépendance d’un peuple, mais en même temps, cela nous a libéré d’un gouvernement

oppressif. Les évêques, nous disons qu’il est très important de constituer

aussitôt que possible un gouvernement panaménien qui puisse prendre en main

la destiné politique, économique, sociale et militaire de Panama. Il faut

donc que cette occupation se termine très vite et tout doit passer dans les

mains du Panama. Nous avons aussi souligné la nécessité de la reconstruction des secteurs meurtris par l’action militaire et d’un grand mouvement

de récupération de la nation car il y a une situation difficile, avec des

gens très pauvres et abandonnés, Ensuite le problème de la nonciatiure.

Nous avons donnée moi comme archevêque avec mes deux auxiliaires une déclaration appuyant le nonce. Nous pensons que le fait de recevoir à l’ambassade du Vatican le général Noriega a été très positif dans ses effets car cela a mis fin à son gouvernement et pratique,ment à l’opposition armée et

des conflits armés. Lorsque nous avons annoncés qu’il avait été reçu à

l’anonciature, des gens ont manifesté leur joie. Mais maintenant cela nous

laisse avec le problème: Quoi faire avec lui». Les négociations en cours

continuent. Les miliraires américains encerclent toujours l’anonciature…

pour éviter que Noriea s’en aille et éviter aussi pour ne pas laisse rentrer d’autres personnes. C’est une occupation militaire. Ils ont pris les

choses en mains de cette façon. Moi-même j’entre pour causer avec le nonce,

mais toujours on doit passer pour pouvoir entrer ou sortir.

La ligne du nonce est totalement appuyée par l’Eglise du Panama. Lettre?

je n’ai pas vu cela, Condamantion à la fois de l’invasion militaire et de

Noriega. Document… toujours demandé le retiro du commandanrt des forces

de défenses, Norieag… et le changement vers un gouvernement démocratique

Les Eu Pas toujours des voisins commandes. Ca c’est notre histoire comme le

Panma. C’est-à-dire un petit pays né dans une situation de dépendance des

EU et gradfuellement, pendant tou le siècle, a pris son indépendance effective. Etre envahi maintenant denouveau, c’est un peu faire l’histoire qui

fait marche arrière. C’est ce que nous erssentons et que nous avons exprimé. On est pas arrivé à condamner comme telle l’action militaire nous avons

lamentar (regretter) Insister… que cela doit se suspendre le plus tôt

possible.

28 décembre 1989 | 00:00
par webmaster@kath.ch
Temps de lecture : env. 2  min.
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