L’Eglise de l’unification, sous laquelle nombre de gouvernants de pays d’Amérique latine déroulent le tapis rouge, n’est pourtant pas en odeur de sainteté partout. En mars dernier, le gouvernement de Guyana a opposé un refus à la demande d’un groupe de 121 jeunes femmes > de la secte Moon – Japonaises pour la plupart -, de prolonger d’un an l’autorisation de rester dans le pays.

La secte indésirable à Guyana

Au Chili, le ministre de la Justice a ordonné une enquête sur les activités de la secte dans le pays. Cette dernière aurait outrepassé son statut juridique. Elle est en outre accusée de violations de droits de l’homme, indiquait-on fin juillet au ministère de la Justice, à Santiago. Ce qui n’empêche nullement Moon d’injecter aujourd’hui des fortunes dans des projets de construction dans les secteurs de l’éducation, du tourisme et de la communication.

Au Venezuela enfin, des critiques commencent à pleuvoir. En début d’été, le quotidien catholique > avait violemment dénoncé l’expansion de la secte Moon dans le pays. >,

9 avril 2001 | 00:00
par webmaster@kath.ch
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