«Un Etat en faillite». Ainsi parle la militante irakienne Hanaa Edwar de son pays. Face à la montée du sectarisme, du fondamentalisme, de la corruption et de la violence, l’espoir s’amenuise au sein des minorités, dont les chrétiens.
«Au Yémen, des millions d'enfants souffrent de la faim, dans l'angle mort de l'opinion publique mondiale», déplore Leonie Lüscher, responsable des programmes internationaux à l’UNICEF Suisse et Liechtenstein.
Quelque 250 responsables d’écoles chrétiennes francophones au Moyen-Orient ont demandé au pape François son aide pour «insuffler du sens» à la présence chrétienne dans la région, «avant qu’il ne soit trop tard».
Alors que les violences armées ont globalement diminué en Syrie, ces dernières années, la situation humanitaire y est toujours catastrophique.
Lors de son voyage au Bahreïn, du 3 au 6 novembre 2022, le pape François a rendez-vous avec des jeunes, à l’école du Sacré-Cœur, unique établissement scolaire catholique du pays, tenu par les carmélites apostoliques.
Recevant les évêques grecs melkites réunis en Synode à Rome, le pape François a renouvelé, le 20 juin 2022, son appel à la communauté internationale pour qu’une solution «juste et équitable» soit trouvée au drame de la Syrie.
Consolider les liens spirituels, culturels et académiques entre la Suisse et l’Irak. Tel a été le but d’une délégation de représentants de Suisse romande proches de l’Eglise catholique récemment partis à la rencontre des chrétiens d’Irak.
Le voyage du pape François en Irak, en mars 2021, est considéré d’ores et déjà comme l’un des gestes majeurs de son pontificat. Mais un an après, cette visite a-t-elle vraiment changé quelque chose?
Le sanctuaire de Lalesh, au nord de l’Irak, est le lieu le plus saint de la religion yézidie. Un site qui joue un rôle majeur dans le travail de résilience de cette communauté durement touchée durant la domination de l’Etat islamique (EI).
Le pape François séjournera à Chypre du 2 au 4 décembre 2021, avant de s’envoler pour la Grèce. Il sera le deuxième pontife à séjourner sur l’île, onze ans après le voyage de Benoît XVI du 4 au 6 juin 2010. Analyse et rappel historique.
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