Le Saint-Siège a confirmé, le 17 janvier 2017, «la confiance qu’il met dans les cinq membres du groupe nommés par le pape François» pour enquêter sur l’Ordre souverain de Malte.
«Ce n’est pas un ultimatum au pape», a affirmé le cardinal Raymond Burke, le 11 janvier 2017, au sujet d’une éventuelle «correction formelle» dont il avait parlé au sujet de l’exhortation Amoris laetitia.
Le Grand Maître de l’Ordre de Malte a fait savoir, le 11 janvier 2017, qu’il refusait de coopérer avec la commission pontificale d'enquête créée par le pape.
Le cardinal Raymond Burke, ›patron’ de l’Ordre souverain de Malte, aurait été reçu en privé le 10 novembre dernier par le pape François, au sujet de la crise que traverse l'Ordre.
Le cardinal Gerhard Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a affirmé que la «correction formelle» demandée par le cardinal Raymond Burke concernant Amoris laetitia n’était pas possible «en ce moment».
La ›démission’ du Grand Chancelier de l’Ordre de Malte «ne doit pas être attribuée à la volonté du pape», a écrit le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Saint-Siège, au Grand Maître de l’Ordre, Fra’ Matthew Festing.
Le Grand Maître de l’Ordre souverain de Malte, Fra’ Matthew Festing, a écrit au pape François pour le 50e anniversaire de la Journée mondiale pour la paix.
L'Ordre de Malte a annoncé le 24 décembre 2016 qu'il rejetait la commission mise en place par le pape François pour enquêter sur la récente éviction du Grand chancelier de la congrégation.
Le pape François, par «sollicitude pour l’Ordre souverain de Malte», a nommé une commission de cinq membres pour «recueillir des éléments» sur le remplacement soudain du Grand chancelier.
Le cardinal nord-américain Raymond Leo Burke poursuit sa croisade contre Amoris laetitia. Il a donné, le 21 décembre 2016, des indications sur le délai qui peut être accordé au pape François pour qu'il apporte une «correction formelle» aux cinq «dout …
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