Pour la première fois, un organe de presse turc a accusé explicitement le Patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée 1er, d’avoir été complice du coup d’Etat manqué du 15 juillet 2016.
Lors de la prière de l’angélus, le dimanche 21 août 2016, le pape est revenu sur l’Évangile de du jour, parlant de la 'porte étroite' (Luc 13). Il a expliqué cette phrase de Jésus: «Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite, car je vous le dis, be …
Coup d’Etat en Turquie, accusations de pédophilie contre le cardinal George Pell, crise au Venezuela: autant de sujets d’actualité sur lesquels le pape François s’est exprimé à bord du vol retour de son déplacement pour les JMJ de Cracovie, le 31 jui …
Après la tentative manquée de coup d'Etat militaire visant le régime du président Recep Tayyip Erdogan le 15 juillet 2016, la petite minorité chrétienne de Turquie est dans l'expectative et fait «profil bas». Elle se souvient des pogroms du passé.
Ali Agca, l'homme qui a tiré sur Jean Paul II en 1981, a émis le souhait de se rendre à Fatima avec le pape François et de devenir prêtre. Le Turc de 58 ans traîne derrière lui une longue histoire de déclarations extravagantes.
Quatre jours après son retour d’Arménie, le pape François est revenu sur ce voyage accompli «en pèlerin de fraternité et de paix», lors d’une nouvelle audience jubilaire place Saint-Pierre, le 30 juin 2016.
Pour Bakou, le pape François, lors de sa récente visite apostolique en Arménie, a appelé à la libération des territoires azéris du Haut-Karabakh «occupés illégalement par les Arméniens».
Le pape François a invité à prier, le 29 juin 2016, pour les victimes de l’attentat terroriste «atroce» survenu la veille au soir à Istanbul, la plus grande ville de Turquie.
A propos de la mention du génocide arménien, «ce qui compte, c’est la vérité des intentions du pape, qui n’avait certainement pas l’intention de faire quelque guerre de religion», a assuré le directeur du Bureau de presse du Saint-Siège à Radio Vatic …
Lors de sa traditionnelle conférence de presse en plein ciel, à son retour d’Arménie, le 26 juin 2016, le pape François a notamment justifié son utilisation du mot «génocide» pour définir le massacre des Arméniens.
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