L'Autorité palestinienne a rappelé son chargé de mission au Pakistan, après que ce dernier soit apparu dans un rassemblement d'un imam radical lié aux attentats de Bombay, en 2008.
Le cardinal suisse Kurt Koch condamne, dans L'Osservatore Romano du 30 décembre 2017, l'attentat perpétré devant une église copte, qui a fait au moins 10 morts, le 29 décembre, dans la banlieue sud du Caire, en Egypte.
Lambert Noël Matha, ministre gabonais de l'Intérieur, en charge du culte, a appelé les imams du pays, à dénoncer «les discours haineux énoncés au nom d’Allah» et à ne pas céder à l'extrémisme.
Des centaines d'hommes et de femmes en colère et en sanglots, avec des dizaines d'évêques, de prêtres et de religieux. Parfois des cris de douleurs qui interrompent la récitation des prières et la lecture de l'Evangile.
Deux hommes armés ont tué au moins neuf personnes, le 29 décembre 2017, devant une église copte au sud du Caire, la capitale de l'Egypte.
L'Ethiopien de Winterthour condamné à être expulsé de Suisse après un prêche haineux dans une mosquée de la ville est toujours dans le pays. Des obstacles juridiques empêchent son expulsion de force.
De l'Inde à l'Egypte, en passant par le Pakistan, Noël 2017 sera plus synonyme de gardes armés que de sapins décorés. Dans de nombreux pays, les célébrations seront ternies par une ambiance sécuritaire très tendue.
Au nord du Tchad, l'islam radical perd du terrain grâce à des activités interreligieuses promues par l'Eglise catholique.
Des chercheurs africains et canadiens ont entamé mercredi 12 décembre 2017 à Dakar (Sénégal) un projet de recherche de trois ans sur la radicalisation religieuse des jeunes.
Des guides musulmans et catholiques sénégalais ont exhorté la société à plus de solidarité envers les prostituées. Ils se sont exprimés le 1er décembre 2017, à l'occasion de la Journée mondiale du sida.
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